Patrick Robo

Formateur-consultant, Béziers
patrick.robo@laposte.net

Résumé

Le « Trois colonnes » est une technique basée sur l’écrit et utilisée au départ pour permettre, favoriser, développer des démarches d’auto-analyse et de co-analyse de pratiques professionnelles à partir de l’évocation de situations vécues sur le temps de travail, quelles qu’elles soient. Particulièrement dédiée à de l’accompagnement professionnel, elle nécessite très peu de moyens. Cet article précise en quoi elle consiste et comment la mettre en œuvre. Il présente également des modes d’emploi possibles, avec différents objectifs, en présentiel ou distanciel et en direction de publics de tous milieux professionnels.

Mots-clés 

auto-analyse, co-analyse, écriture clinique, réflexivité, trois colonnes

Catégorie d’article 

Techniques et outils au service de l’analyse de pratiques professionnelles, modalités d’analyse de pratiques professionnelles

Référencement 

Robo, P. (2018). Trois colonnes, modes d’emploi. Pratiques auto/co-analysées par écrit. In Revue de l’analyse de pratiques professionnelles, No 12, pp. 31-39. http://www.analysedepratique.org/?p=2871.


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« Three columns », instructions for use. Practices auto/co-analyzed in writing
Abstract

The « Three columns » is a technique based on writing and used initially to enable, promote and develop approaches to self-analysis and co-analysis of professional practices starting from the evocation of situations lived on working time, whatever they may be. Especially dedicated to professional accompaniment, it requires very few ways. This article specifies what it is and how to implement it. It also presents possible instructions for use, with different objectives, face-to-face or remote and for people from all professional backgrounds.

Keywords

self-analysis, co-analysis, clinical writing, reflexivity, three columns


 

1. Origine de cette technique

Il y a une quinzaine d’années, alors formateur à l’IUFM[1], j’accompagnais des enseignants débutants par le biais de ce qui était nommé « entretien de formation en visite de classe ».
Il s’agissait d’assister à une séance pédagogique[2] conduite par un enseignant avec ses élèves, puis de mener, dans la foulée, un entretien à visée formative et non certificative.  La mise en œuvre de plusieurs exercices de ce genre m’a permis d’acquérir rapidement la certitude de l’inefficience fréquente de ce type d’entretien voulu, en principe, au service de la professionnalisation. Ce constat fut partagé par d’autres formateurs auprès desquels je m’étais ouvert de la chose et conforté par des travaux de recherche de Marc Durand (2001). Globalement, il ressortait l’inéquation de l’exercice avec les objectifs d’accompagnement attendus, et ce pour diverses raisons, en particulier : logiques différentes pour le « visiteur » et le « visité », charge émotionnelle parasitante chez le visité, difficulté à prendre du recul « à chaud », fatigue, manque de temps, parfois même dérangement par des élèves encore dans l’école, etc.

Il m’est alors venu l’idée de différer cet entretien, quand cela était réalisable institutionnellement, et d’imaginer une technique permettant une distanciation, un début de réflexivité et une médiation par l’écrit pour mener au mieux l’échange et l’accompagnement dans un temps ultérieur. Pour ce faire, je me suis basé sur la démarche d’analyse de pratiques professionnelles dénommée le GFAPP[3] (Robo, 2016), que je développais par ailleurs. Par manque de créativité, je lui ai donné le nom de « Trois colonnes »[4]. En fait, il s’agit d’abord d’un processus d’auto-analyse de pratique professionnelle sous forme d’écriture clinique (Robo, 2003a) pouvant servir de base à de la co-analyse. J’en avais précisé il y a quelques années l’intérêt en matière d’accompagnement professionnel, des limites et des pistes d’exploitation possibles (Robo, 2003b). Je rappellerai rapidement ici la trame de mise en œuvre avant d’évoquer différents cas de figure envisageables pour l’utiliser dans d’autres situations que celle d’un entretien suite à une visite en classe.

2. Des principes

Peut-être est-il nécessaire d’énoncer les cinq principes de base dans le cadre de la mise en œuvre de cette technique :

  • L’authenticité, en s’efforçant, comme le préconisait Michael Balint (1960) « d’avoir le courage de sa propre bêtise» … Cette authenticité ne pouvant être présente que si une relation de confiance est établie entre les protagonistes, notamment par l’élaboration d’un contrat préalable fixant les droits et devoirs de chacun quant à l’utilisation du « Trois colonnes » (principes, objectifs, modalités et règles d’utilisation, etc.).
  • La confidentialité. Ce qui est écrit n’appartient qu’à l’auteur et éventuellement à l’accompagnateur qui a proposé le « Trois colonnes ». S’il le décide, l’auteur pourra partager sa production avec d’autres personnes, pairs, ou pas.
  • La non-évaluation-contrôle qui s’inscrirait dans une évaluation normative, voire certificative, sinon l’authenticité de la réflexion risque d’être biaisée. Nous sommes ici dans une démarche d’accompagnement ancrée dans l’évaluation formative.
  • La suspension du jugement par l’auteur et par l’accompagnateur. L’objectif n’étant ni de juger, ni de jauger, mais de réfléchir de manière compréhensive et empathique[5].
  • L’interdit du conseil. Il ne sera pas question pour l’auteur d’être en quête de conseils, ni pour l’accompagnateur d’en donner, mais plutôt d’entrer dans une volonté de « tenir conseil » par la réflexion mise en commun et partagée par le viatique de l’écrit.

3. La trame de l’outil

Cette technique du « Trois colonnes » s’appuie sur l’utilisation d’un outil très simple au service de l’analyse de sa propre pratique professionnelle par le biais de l’écriture.

Il se présente sous la forme de trois colonnes (d’où son nom certes peu académique) qui correspondent en fait à trois supports d’écriture produits à propos d’une situation vécue personnellement et de la praxis exercée dans celle-ci. Il peut être mis en œuvre sur un support papier, avec des modes de réalisation adaptés en fonction des objectifs (trois colonnes sur une page[6] ou une colonne par pages). Un support numérique, peut également être utilisé, permettant, comme nous le verrons ultérieurement, de travailler à distance. Par commodité pour la suite il sera toujours question ici de colonnes.

3.1 Colonne 1 : un récit

L’auteur utilisera la première colonne pour décrire librement une situation, un fragment d’un vécu professionnel quel qu’il soit, réussi ou non et dans lequel il est présent et acteur. Ce qu’il en a perçu, ce qu’il a observé, repéré, ressenti, ce qu’il en retient… et qu’il désire interroger, analyser, comprendre, conscient ou non que ce récit n’est que le reflet, le souvenir de ce vécu, et donc une reconstruction d’une réalité par le biais de l’écriture. Par précaution (cf. risque d’égarement de ce support), le récit sera anonymisé, la situation non identifiable.

3.2 Colonne 2 : un questionnement

La deuxième colonne servira au recueil des questions directement en rapport avec le récit énoncé dans la colonne 1, et ce au service de l’élucidation. Toutes les questions qui ont émergé pendant et après ce vécu, celles que la situation a posées, qui se sont posées à propos de celle-ci, qui ont surgi pendant cet exercice d’écriture, et ce, si possible, en étant dans une démarche multidimensionnelle, à savoir des questions liées à un maximum de dimensions, de facteurs, d’éléments que l’on repère dans cette situation. Ce travail sera uniquement orienté sur le questionnement sans chercher concomitamment des réponses qui pourront venir ultérieurement à ce temps d’écriture.

3.3 Colonne 3 : des hypothèses de compréhension

Dans la troisième colonne viendront des hypothèses de compréhension, si possible multidimensionnelles. Il ne s’agit surtout pas dans cette démarche d’analyse d’apporter des réponses aux questions de la colonne 2, encore moins de (se) donner des conseils, mais d’émettre des hypothèses du type : « Je fais l’hypothèse que cette situation en est arrivée là parce que… », toute hypothèse, par définition, étant habitée par le doute.

4. Qui renseigne ces trois colonnes ?

C’est évidemment l’acteur/auteur qui souhaite, dans un premier temps, analyser sa pratique professionnelle à partir de son écriture qui renseigne les trois colonnes. Que fait-il de cet écrit ? Il peut le conserver y revenir plus tard afin de poursuivre l’analyse. Cette démarche sera d’autant plus pertinente qu’il aura bénéficié d’une formation lui ayant permis de développer cette métacompétence qu’est le « savoir analyser » (Robo, 2013).

Il peut également le communiquer à un accompagnateur, un pair « ami-critique », un formateur… (une personne en qui il a confiance) en vue d’une aide à l’analyse soit par des échanges écrits, à distance, soit au cours d’un rendez-vous ultérieur, le dialogue s’établissant alors à partir de ce qui a été rédigé.

Enfin, dans une démarche plus efficiente grâce à l’intersubjectivité, l’auteur ne fournit à l’accompagnateur que sa première colonne, ce dernier renseignant, à partir de ce récit, une colonne avec ses questions et une colonne avec ses hypothèses. Ensuite, les deux partenaires échangent leurs deuxièmes et troisièmes colonnes… de manière à mener un dialogue bien plus riche sur la base de ces écrits mutualisés.

5. D’autres utilisations du « Trois colonnes »

5.1 Co-accompagnement entre pairs

Nous venons de voir deux façons d’utiliser le « Trois colonnes » dans une démarche d’accompagnement. Examinons à présent la mise en œuvre d’un processus de co-accompagnement entre pairs, au sein d’un binôme. Tout d’abord, chacun rédige ses trois colonnes à partir d’une situation vécue personnellement et qu’il souhaite analyser. Puis, il communique à l’autre membre du binôme uniquement sa première colonne. Ce dernier, comme vu précédemment, renseigne alors, après lecture du récit de l’autre, une colonne avec ses propres questions et une colonne avec ses propres hypothèses de compréhension. Enfin, ils procèdent à l’échange de leur deuxième et troisième colonne, découvrent toutes les questions et hypothèses à propos de chacune des deux situations évoquées. Tout un travail s’établit ensuite dialogiquement à leur propos à partir de ces écrits réflexifs, et ce à distance ou lors d’une rencontre.

5.2 Sensibiliser, initier à l’APP

Les différentes mises en œuvre « basiques » de cette technique m’ont conduit à l’utiliser avec des objectifs multiples dans le cadre de formations à et par l’APP en groupe.

J’ai pu ainsi expérimenter le « Trois colonnes » avec des groupes de novices pour lesquels plusieurs rencontres étaient programmées. Afin de leur permettre de découvrir l’APP par la pratique lors de la première séance et plutôt que de leur faire vivre un GFAPP, je leur propose de recourir à cette technique en binômes sur le principe du co-accompagnement comme décrit en 5.1.

À titre d’exemple, voici la trame d’une séance après avoir présenté la technique, l’outil, les objectifs, le cadre, etc. (les durées seront adaptées en fonction du temps total imparti à la séance) :

  1. Constitution des binômes, selon des critères différents… affinités, non-connaissance de l’autre, etc. (Nb : si le groupe est en nombre impair de participants, je complète un binôme).
  2. 30’ pour que chacun renseigne seul ses trois colonnes ; puis à l’issue de ce temps procéder à l’échange des colonnes 1 (donc uniquement des récits).
  3. 20’ pour que chacun renseigne seul les colonnes deux et trois à partir du récit reçu de l’autre.
  4. 30’ à 45’ pour une mise en commun par binômes après lecture par chaque membre du binôme de ce que l’autre a écrit ; dialogue, échanges, discussion… sur les deux situations.
  5. 10’ à 15’. Temps « méta » pour échanger en binômes sur cette technique, cette démarche d’APP.
  6. Mise en commun dans le groupe des réflexions du temps méta et apports éventuels de l’animateur.

Il est à noter que dans cet exercice, tous les présents proposent une situation à l’analyse, alors que si je leur fais vivre un GFAPP, l’expérience me fait dire qu’il n’y a que deux ou trois volontaires pour exposer leur situation devant le groupe ! Il en ressort que le cadre mis en œuvre en binômes permet à chacun d’oser « se livrer » à un autre, choisi, en toute confidentialité et en sachant dès le départ que ce qui sera écrit n’appartiendra qu’aux deux membres du binôme… et que les situations ne seront pas révélées au formateur.

5.3 Aborder, creuser certains aspects du savoir analyser

Il est également possible d’utiliser la démarche ci-dessus pour amener les participants à réfléchir sur certains aspects de l’APP. Ainsi, dans la phase méta, pour s’entraîner à l’emploi de la multidimensionnalité, je peux les inviter à repérer toutes les dimensions qui sont abordées dans chaque récit, mais aussi dans les questions, les hypothèses et la conclusion. La tâche peut être complexifiée en demandant d’identifier les dimensions propres au contexte, celles propres à la pratique de l’acteur et celles communes aux deux.

La phase méta peut être employée de différentes façons, par exemple, pour conduire une réflexion collective sur le questionnement ou sur l’émission d’hypothèses : quels types de questions (ouvertes, fermées, inductives, à choix multiples, etc.), quels types d’hypothèses (de compréhension, de résolution, conseils déguisés, etc.) ; réflexion sur la formulation synthétique des questions et des hypothèses, etc. Mais cette phase peut également être utilisée avec d’autres objectifs en lien avec ceux de la séance ou/et ceux de l’animateur.

Nb. Dans le cadre d’une formation de formateurs, d’animateurs, la phase méta peut être exploitée pour conduire une réflexion sur l’intérêt de cette technique (la mise en œuvre) et de cet outil (le support des écrits), en vue de leurs améliorations et sur différents usages que l’on peut en faire.

5.4 Initier à l’écriture clinique et réflexive

Certains formateurs emploient cette technique avec un public peu ou pas habitué à « écrire pour être lu » ou à qui l’on demande pour la première fois de produire un « écrit réflexif » sans jamais avoir été initié à cela auparavant… comme s’il suffisait de dire « soyez réflexif » pour l’être ! Il s’agit donc d’une utilisation pour d’une part mettre en confiance, et d’autre part permettre de s’autoriser à « s’auteuriser », « s’autoriser à être auteur » comme le suggère Jacques Ardoino (2002) : « L’écriture est un véritable processus d’autorisation grâce auquel, de façon malgré tout distincte, je deviens auteur de moi autant que de ce que je produis. »

Le « Trois colonnes » peut également servir de déclencheur dans des ateliers d’écriture. Le recul réflexif alors pris peut favoriser le développement d’un récit, puis permettre de l’amender, l’améliorer, le partager…

6. Conclusion et perspectives

Comme nous venons de le voir, le « Trois colonnes », au-delà d’un simple moyen d’auto-analyse de sa propre pratique, permet de multiples applications dans des milieux professionnels divers et avec des publics différents.

Cette technique peut également être proposée, utilisée quand aucune rencontre du groupe d’APP auquel on appartient n’est programmée, ou bien lorsqu’il n’en n’existe pas et qu’un besoin d’analyser sa pratique apparaît comme nécessaire, voire important si ce n’est urgent.

Elle se révèle bien appréciable dans des démarches d’accompagnement notamment au service de la formation initiale et continue, que ce soit en présentiel ou à distance, grâce en particulier aux moyens actuels de communication.

Le « Trois colonnes » peut également être utilisé dans une quête de solutions en y ajoutant, dans un temps ultérieur à celui consacré aux trois premières colonnes, une quatrième colonne qui n’est plus une phase d’analyse, mais plutôt de résolution, de remédiation, d’élaboration de projets… Celle-ci permet à l’accompagné et à l’accompagnateur d’inscrire des suggestions autour du modifiable (ce qui pourrait être modifié dans l’avenir), ainsi que des propositions de « choses » à faire, à lire[7]… pour transformer sa pratique et/ou pour donner une suite éventuelle à la situation évoquée.

Par ailleurs, et comme déjà suggéré dans l’article cité (Robo, 2003b), cette technique pourrait être déployée dans le cadre d’une recherche, par exemple en adjoignant a minima une quatrième colonne recueillant des éléments, des pistes en vue de validation ou invalidation d’hypothèses de la colonne 3…

Dire aussi que des formateurs ayant pu découvrir le « Trois colonnes » à l’occasion de stages de formation à et par l’APP ont décidé de l’utiliser, tel quel ou avec des aménagements, sur leurs lieux de travail, de formation, d’activités respectives… trouvant que c’est « un outil simple à partager » (Martin M. 2016).

Et terminer en informant que, dans le cadre du réseau GFAPP[8], un petit groupe de ces « utilisateurs » s’est constitué pour échanger, mutualiser, se co-accompagner… Il peut s’ouvrir à de nouveaux participants… et peut-être produira-t-il d’autres écrits à ce sujet ?

Références bibliographiques

Ardoino, J. (2002). L’écriture : s’autoriser entre soi et autres. (éditorial) in Pratiques de formation – Analyses, Université Paris III, n°44, 2002, pp. 5-12.

de Peretti, A. (1966). Le groupe d’approfondissement personnel. Cahiers pédagogiques. N° 346, p. 45.

Balint, M. (1960), Le médecin, son malade et la maladie (p. 323). Paris, Payot.

Durand, M. (2001). Développement personnel et accès a une culture professionnelle en formation initiale des professeurs in L’entretien de formation en visite formative (p. 9). http://probo.free.fr/documents_collectifs/docs_collectifs.htm.

Martin, M. (2016). Un outil simple à partager. In Revue de l’analyse de pratiques professionnelles, pp 51-58. http://www.analysedepratique.org/?p=2303.

Robo, P. (2003a). L’écriture clinique. http://probo.free.fr/ecrits_app/ecriture_clinique.htm.

Robo, P. (2003b). Pratiques professionnelles auto-analysées par l’écrit, Technique dite des Trois colonnes. http://probo.free.fr/ecrits_app/grille_phases_gfapp.pdf.

Robo, P. (2013). Développer le “savoir analyser” pour analyser sa pratique professionnelle. In Revue de l’analyse de pratiques professionnelles, 1, pp 39-48. http://www.analysedepratique.org/?p=435.

Robo, P. (2016). Les phases d’un GFAPP. http://probo.free.fr/ecrits_app/grille_phases_gfapp.pdf.

 

Annexe  

Une situation vécue auto-analysée

Nom, prénom :                                                                     Email :

Titre – intitulé de ce témoignage auto-analysé :

Sous-titre éventuel :

L’OBSERVABLE ; LE PERÇU

Il s’agira ici du récit d’un fragment d’une situation, d’une pratique (réussie ou non) personnellement vécue
et que l’on souhaite interroger

Nb : le récit sera anonymisé, la situation non identifiable

LES QUESTIONS POSEES

Les questions que je me suis posées, que je me pose, qui se posent à moi

EMISSION D’HYPOTHESES

Mes premières hypothèses ; de la réflexivité qui va dans le sens de la compréhension de ce qui s’est passé, de ce qui a agi dans et sur la situation et non dans le sens de résolution de problème

(un travail analytique sur la situation exposée et sur son amont)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Notes

 

[1] Institut Universitaire de Formation des Maîtres.

[2] Un cours, une leçon selon les appellations Education nationale.

[3] Groupe de Formation à et par l’Analyse de Pratiques Professionnelles.

[4] Appellation utilisée depuis par nombre de formateurs ayant découvert cette technique.

[5] A ne pas confondre avec une démarche sympathique (faculté de participer aux peines et aux plaisirs des autres selon le Littré).

[6] Voir l’exemple en annexe.

[7] En s’inspirant des GAP (groupes d’approfondissement professionnel) initiés par André de Peretti (1966).

[8] https://www.analysedepratique.org/?p=3509